
Phobie de conduire : quand conduire devient un cauchemar
Bonjour Monsieur Koentges,
Je vous écris suite au coaching anti-stress que j’ai suivi en votre compagnie en ce mois de novembre 2018. Je tenais tout d’abord à vous remercier, je suis repartie de cette formation plus légère, sécurisée et avec davantage de confiance en moi.
Ce n’était pourtant pas gagné. Je vous ai expliqué que cela faisait quelques mois que j’éprouvais un grand malaise au volant. Crises de panique, vertiges, tétanie à l’idée de prendre l’autoroute ou de devoir dépasser ne serait-ce qu’un camion. Cette nouvelle « phobie » est d’autant plus handicapante et stressante étant mère de famille avec de jeunes enfants régulièrement à l’arrière du véhicule.
La présentation théorique en début de formation constituait une piqure de rappel très utile avant de prendre la route. Le parcours répétitif et dont la complexité allait crescendo m’a permis d’être à l’aise et d’apprendre à adopter la bonne posture, à la bonne distance.
Malgré mon très grand stress à l’idée de prendre l’autoroute, vous avez su être rassurant et me donner des conseils au fur et à mesure. Résultat : autoroute, vitesse et dépassement n’ont pas été sans difficulté mais ont été néanmoins rendus possibles et même plutôt fluides !
Je garde vos conseils précieusement et essayerai de les appliquer à chaque fois que je prends mon véhicule. Une chose est sûre, l’appréhension de conduire fait désormais place à l’envie. Merci.